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K Stories

8 août 2013

Pause estivale

J'ai eu beau me creuser la cervelle pour chercher de quoi j'allais te causer aujourd'hui mon P'tit Scarabée, mais sans succès. 

Je suis débordée en ce moment, je n'ai le temps de rien et ma créativité au niveau zéro pire que d'habitude.

Alors, je pense, qu'il est temps que je m'octroie une pause blog estivale. 

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6 août 2013

Sèche tes larmes !

Je ne sais pas toi, P'tit Scarabée, mais moi j'ai des habitudes culinaires. Un ingrédient dont je ne peux pas me passer, un ingrédient que j'utilise dans le trois quart des plats que je prépare. 

Je ne suis pourtant pas d'origine Portugaise, mais je mets de l'oignon partout. J'adore ça, l'oignon. Cru ou cuit. 

Mais j'ai aussi des glandes lacrymales très sensibles. Rien que de regarder un oignon, je pleure. Alors l'éplucher et le couper, je me noie dans mes larmes. Un vrai calvaire. J'ai ce souci, avec les poireaux également, mais eux, je les aime moins. 

C'est un supplice pour moi de faire une tarte à l'oignon. 

Ca fait rire mon mari et mes nains lorsqu'ils me voient ainsi en larmes devant ma planche à découper ! 

Oui, mais voilà, grace à ma Naine, j'ai trouvé ZE révolution. 

Aujourd'hui, je vais te dévoiler mon arme secrète, que j'ai utilisé, sceptique, dimanche pour la première fois et qui au final a été une vraie révélation. Ne me remercie, il est normal que je partage mes découvertes avec toi. 

Et bien, mon P'tit Scarabée, pour ne plus pleurer comme une madeleine quand tu épluches et coupes des oignons, il suffit de... mâcher un chewing-gum !

Oui, c'est tout bête, tout simple mais super efficace. Bon, s'pas super économique, car au bout de 3 oignons, faut changer de chewing-gum. 

Mais pour moi, c'est ZE révolution de l'année. Et tout ça, grâce à ma fille qui a lu cette "astuce" je ne sais plus où et que j'ai pris à la rigolage, soit dit en passant. 

Allez, à toi mon P'tit Scarabée, les tartes aux oignons, les pissaladière, les flammekeuche, etc...  tu risques de faire mal à la couche d'Ozone après, mais bon, c'est du gaz naturel après tout !

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4 août 2013

~ Photo de la semaine ~

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Le Pimm's se décline aussi en version Royale !

Alors, autant j'adore le champagne, autant je préfère le Pimm's avec la limonade. 

3 août 2013

Shame on you !

Y a des fois, je trouve que les gens sont vraiment, mais vraiment stupides (pour être polie). 

A part si tu vis dans une grotte éloignée du monde, tu sais toutes les castrophes ferroviaires et routières qui sont venues entachées cet été. 

Même du côté de la mer, il y a eu un certain nombre de noyés.

Il n'en faut pas plus pour que les journalistes en fassent leur chou gras et donc des reportages. Les voilà donc partis, au bord de la mer, pour filmer les zones protégées, les batailles des secouristes pour que tout le monde agisse de manière responsable et de donner la parole aux indisciplinés. 

Indiscipliné qui ose dire, à la TV, aux journaux nationaux, à heure de grande écoute "oh oui, je sais que c'est dangereux de se baigner hors des zones surveillées parce que la mer est déchaînée mais bon, ce sont les vacances faut en profiter" !!!

Une telle désinvolture, un tel mépris de la vie d'autrui, une telle indifférence des règles de sécurité me révoltent !!! et ben moi, Monsieur, si jamais tu viens à te noyer parce que les courants de baïne t'emportent au loin, je vais te répondre que "bah t'as raison. Profites-en, tu n'en réchapperas peut-être pas, alors je te laisse dans la m**** dans laquelle tu t'es mis tout seul, comme un grand". Je connais assez la mer pour savoir que quand elle est en colère, elle ne rigole pas. 

Quelle honte de risquer sa vie (et celles de autres qui viendront à la rescousse) et de dire haut et fort "oh ce sont les vacances faut en profiter". La connerie humaine dans toute sa grandeur ! Les personnes décédées dans les accidents de cet été auraient aimés aussi profiter de la vie !

Voilà, suis en colère !

1 août 2013

Promenade Parisienne

Mercredi.

Les enfants sont pas là. Chéri est au travail. Pas envie de rester seule dans cette maison, à tourner en rond, ne sachant que faire tellement je me languis de mes nains et afin d'éviter, comme Isa, de renifler leur oreiller parce que ça jette un doute sérieux sur ma santé mentale auprès de mon mari, j'ai décidé d'aller arpenter le bitume parisien, appareil photo autour du cou. 

J'ai donc commencé ma balade à Montmartre. C'est joli Montmartre, c'est calme, c'est beau, c'est dépaysant. Quand il n'y a pas les touristes (non moi, suis pas touriste). Je suis arrivée assez tôt. L'heure à laquelle, les touristes finissent leur petit déj' à l'hôtel. Il y avait quelques personnes, mais pas grand monde. Essentiellement des vendeurs à la sauvette, qui à partir du moment où tu as un appareil photo entre les mains te demandent si tu es French ? Spanish ? English ? Italiano ? Deutch ? Non rien de tout ça, suis pas une touriste bon sang !!! combien de fois vais-je devoir le répéter !!

Les plus "pénibles" se sont les Japonais. Ils se prennent en photo, avec leur smartphone ou leur tablette tactile, toutes les 10 secondes. Et tant pis si ils gènent les autres, mais faut qu'ils soient sur la photo devant les escaliers, devant la grille, devant la basilique, devant le peintre, devant le bar, devant le pigeon, devant le taxi, devant l'autre grille, devant l'autre escalier, etc... Je ne savais pas si c'était des Japonais ou des Chinois, mais mon Chéri et Fanny (non, pas ensemble, chacun leur tour) m'ont expliqué, que eux, ils devaient impérativement être sur les photos qu'ils prennent... histoire de prouver qu'ils étaient bien là sûrement !

Puis, une fois que j'ai eu fini mon petit tour à Montmartre, je suis revenue à la Basilique du Sacré Coeur, et là, la foule était arrivée. Il était temps que je lève le camp.

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Je suis passée faire mon petit pélerinage habituel à la Chapelle Notre Dame de la Médaille Miraculeuse. Jamais je répèterai assez combien cette chapelle est magnifique. 

J'ai rejoint mon mari qui m'a offert le restau pour me requinquer. Dans la même rue, j'ai croisé Marianne James. Et ben elle est tout pareil qu'à la TV. Le maquillage en moins. Pas de photo, car j'ai pas le "culot pour". 

De là, j'avais dans l'idée de photographier les bâtiments de la Bibliothéque Nationale de France. L'idée était nulle. Je pense qu'il aurait fallu que je sois de l'autre côté de la Seine. Je n'étais donc pas du bon côté, mais je commençais à avoir les pieds fatigués pour faire un trajet inutile en traversant le pont puisque j'aurais dû revenir sur mes pas pour continuer mon parcours. 

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J'ai continué en flânant le long des quais de Seine pour admirer Bercy et arriver au Jardin des Plantes.

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Je me suis posée, à l'ombre, dans une allée du Jardin des Plantes. J'ai regardé les gens passer, j'ai "joué" avec mon Smartphone et mes applications favorites puis j'ai traversé le parc. J'aurais voulu aller à la ménagerie, mais à 11€ l'entrée, j'avoue que j'ai pas hésité une seconde à passer mon chemin. Et c'est à la sortie du parc que j'ai renconté mon arbre bi-centenaire. 

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J'ai continué ma route jusqu'au Panthéon. Mais il est en travaux. J'ai flâné un peu devant la place piétone en pensant à tous ces grands hommes enterrés là. 

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Puis j'ai continué ma route pour rejoindre l'île de la Cité en passant par la rue de la Montagne Sainte Genevièvre. Arrivée sur les quais, j'ai retrouvé la foule. Je me suis offert une boisson fraiche et un peu de repos, sur une péniche au pied de Notre Dame. Ca tanguait drôlement lorsque les bateaux de croisière passaient, mais ouf, j'ai le pied marin (j'ai vécu bien pire sur la mer, mais ça c'est un autre sujet). Que c'était bon, d'être là, tranquille, à savourer le temps présent. Mes pieds clignotaient de douleur et de fatigue, mais que j'étais bien.

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Mon périple touchait à sa fin. Je n'en pouvais plus. Mais je n'étais jamais allée à Paris Plage. Là, l'occasion était trop belle. Me voilà donc repartie en direction de Paris Plage laissant l'Ile de la Cité derrière moi.

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Et bien, moi je vous le laisse Paris Plage. Ce jour là, il faisait très chaud. Ils étaient tous, alignés comme des harengs, sur des chaises longues certes, sur le sable certes, mais pas un seul petit filet d'eau pour venir rafraichir ces peaux moites et transpirantes. Comment font-ils pour tenir ? et puis, il y a un monde... J'en suis rapidement repartie. Il était temps que je prenne le chemin du retour. 

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Belle journée, belle promenade. Non, avant que tu me prennes pour une mytho, mon P'tit Scarabée, je n'ai pas tout fait à pieds. J'ai aussi pris le métro. 

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30 juillet 2013

Mon portable et moi

En ce temps estivale aride de créativité, j'ai décidé de te causer, Cher P'tit Scarabée, de mon portable. 

Le week-end, lorsque je cuisine, j'écoute la radio RTL, "Stop ou Encore" présenté par Vincent Perrot. Durant l'été, l'émission qui suit est "rendez moi mon portable". C'est à dire, un invité-star prête son portable à la présentatrice, qui l'épluche de fond en comble... le portable, pas l'invité... oh mets y un peu de volonté, là, P'tit Scarabée !

Et comme moi, je suis aussi la star de mon blog, bah je me prête au jeu.

Nabila, dont je ne comprends pas l'intéret médiatique qu'elle suscite a toutefois dit, pour une fois, une chose très juste : "mon portable, c'est comme mon string, je l'ai toujours sur moi". Ouais, je sais c'est profond. Une philosophe est née.  Nan je déconne hein ! J'ai trouvé cette phrase tellement idiote !

Moi je ne porte pas de string. Mais j'ai quand même mon portable toujours à portée de main !

Mon premier téléphone portable, j'ai dû l'avoir en 1997. Ouh la ça remonte hein. A l'époque c'était des gros machins, hyper lourd et pas super esthétique. J'ai par contre, gardé le même numéro de téléphone depuis. Oui, je suis fidèle. 

En fait, à l'époque, mon boulot me demandait de m'absenter un jour par semaine pour aller comme en dit en "extérieur" (ça ne devait que le temps de former le nouvel employé). Et je ne supportais pas que la nounou ne puisse pas me joindre, au cas où... Fallait que je puisse rester connectée avec mon bébé qui a 18 ans maintenant

J'ai eu des tas de portables parce que j'adore les gadgets. Les trucs hype comme on dit. 

Depuis quelque temps j'ai un smartphone. Un truc de la marque à la pomme. 

Je l'adore. Je ne sais plus m'en passer. Presque toute ma vie est à l'intérieur : mes rendez-vous, mon carnet d'adresses, mon carnet d'adresses web, mes photos, mes notes, mes livres à lire, etc... tout ! 

Je suis accro. Mais je ne dors pas avec. Jamais. 

J'ai personnalisé mes sonneries. Mon mari sonne "Enjoy the silence" de Dépèche Mode parce que "all ever I wanted, all ever I needed, is here in my arms" et ça le résume.

Ma Naine, elle c'est "Call me maybe", chanson de son idole d'après Miley Cirus.

Mon fils, lui, l'est pas trop musique, mais passé un temps, il aimait beaucoup "Thanks for the memories", et puis c'est speed, comme lui.

Mes parents, eux, ont aussi droit, chacun, à une chanson de Dépèche Mode. 

J'ai fait une petite infidélité à Dépèche Mode pour ma sonnerie principale. J'ai craqué pour "London Town" parceque Londres... ah Londres...

Je pourrais te parler de mes applications préférées, mais je ne vais pas tout de dévoiler en une seule fois... mon aura mystérieuse en serait plus du tout mystérieuse.

Ah puis, je vois bien que ça te travaille, P'tit Scarabée, je mets pas de string mais je mets des culottes... pour qui tu me prends !

Et toi, P'tit Scarabée, dis moi tout : tu es addict à ton portable ? 

28 juillet 2013

~ Photo de la semaine ~

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Cette semaine, en traversant le Jardin des Plantes à Paris, j'ai vu cet arbre. 

Planté en 1811 !! j'ai halluciné. Il a 200 ans. 

Et en 200 ans, il a dû en voir et en entendre des choses. 

Je suis restée plantée devant, à l'admirer et en regardant bien la date, pour voir si je lisais bien. 

200 ans... 

27 juillet 2013

Eh bé !

Non mais je te jure, mon P'tit Scarabée, parfois j'ai de ces idées !!! s'pas facile tous les jours, hein, je te le dis !

J'ai décidé, de lire un classique. Un chef d'oeuvre de la littérature Anglaise, longtemps banni car jugé trop érotique. 

Tout le monde connait "L'amant de Lady Chatterley" de D. H Lawrence. Moi bien sûr, je connaissais aussi, de nom. Puis, c'est une référence. Je me suis dit qu'il serait bien que je parfasse ma culture !

Eh ben grand bien m'en a pris, comme dirait ma mère. 

Qu'est-ce que je me suis ennuyée. C'est plat, c'est mou, c'est long, c'est redondant. Et alors, côté érotisme... je cherche encore. Parce que si à l'époque, ils jugeaient ça trop érotique, c'est que quand même ils étaient rudement, mais rudement coincés du string. 

Bref, pas de quoi fouetter un chat ! ah ah ah !

J'ai pas du tout aimé. Je n'ai pas du tout été sensible au style de l'auteur qui est pourtant reconnu pour être un bon écrivain. 

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25 juillet 2013

Mon fils

Mon Ado n'en est plus un. 

Mon Ado rentre dans la catégorie des jeunes adultes.

Mon bébé a 18 ans aujourd'hui. 

18 ans... mon bébé, mon petit bouchon que je ne cessais d'admirer le jour de sa naissance parce que jamais je n'avais vu un petit être aussi beau, parce que jamais je n'avais fait quelque chose d'aussi beau. Mon petit bébé, si petit, a 18 ans. 

Il est intelligent, drôle, plein d'esprit. Il a un coeur énorme, il est gentil, doux et attentionné. Il est serviable, fidèle et dévoué. Il est parfait. 

Il lui faut juste un peu de maturité, pour que toutes ces qualités deviennent de vrais atouts. 

Il est merveilleux et je l'aime à l'infini, mon premier, mon tout petit bébé. 

♥ Joyeux anniversaire mon fils ♥

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23 juillet 2013

Un être vous manque et tout est dépeuplé

Ok, ok, ok... je sais. Y a une semaine je me plaignais de mes Nains. 

Et ben aujourd'hui, je vais te jouer la plainte de la mère abandonnée. 

Non, je suis pas inconstante. Nanmého !

Mes Nains sont partis en vacances. Sans moi. Mes vacances à moi, se résumant à peau de chagrin cette année, j'ai dû, à l'insu de mon plein grè, les envoyer sous d'autres cieux pour se changer les idées, recharger les batteries en soleil, piscine et calories. Oui il y a des durs choix à faire dans l la vie. 

Et ils me manquent. 

J'ère dans la maison comme une âme en peine. Il n'y a plus de bruit, plus de dispute, plus de rire mais toujours leurs affaires semées, ici et là, comme des miettes pour aider mon esprit à bien les garder à l'esprit justement. 

Où que je pose mes yeux, il y a les chaussures de ma Naine, un T-shirt de mon Ado, un jouet à ma Naine, un jeu vidéà à mon Ado. Ces momes me torturent. Même quand ils ne sont pas là. 

Pourquoi, suis-je si dépendante ? j'attendais tellement leur départ... j'espèrais qu'ils se barrent enfin de mon royaume. J'attendais leur absence avec bonheur. J'espèrais pouvoir me la couler douce. 

Ben que nenni. Cette bande d'affreux ingrats, égoîstes, menteurs et vilains me manque. Leurs conversations me manquent, leurs câlins me manquent, leurs regards me manquent, leurs voix me manquent, leurs odeurs me manquent. Bref, leurs présences me manquent.

J'ai l'impression qu'il me manque quelque pièce du puzzle. Je suis bancale, vide, triste. 

Et surtout, surtout, à leur retour, P'tit Scarabée, quand je viendrai me plaindre que je n'en peux plus et que je compte les échanger contre un ou deux poissons rouges, je t'interdis de venir me rappler ce billet que je t'écris, sous la pression du désespoir. 

Et toi, mon P'tit Scarabée, tes enfants sont loin durant ses vacances (je sais déjà que oui, pour certaines) et comment tu gères ? 

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